Après le premier jour, on a commencé la visite guidée de l’île de Pâques. Le car nous a récupéré après le petit déjeuner: avec dix autres passagers, on est allé autour de l’île pour qu’on puisse voir des moais et de la nature verte.
Le premier stop, c’était au Volcan Rano Raraku, un cratère volcanique où il était site d’une carrière il y a centaine d’années. C’était la site pour ramasser des matières pour faire des moais, et pour les transférer aux villages sur l’île. On ne sait pas comment des indigènes font des énormes moais et comment ils les tranferent sans chariots, sans voitures. Ça reste une énigme, et elle était fascinante pour apprendre, pendant qu’on visite la site volcanique et qu’on voit des moais qui y restent: plusieurs pas touchés, plusieurs cassés.
En fait, les moais ont des corps– ce n’est pas juste des têtes. Le reste du corps sont enterrés sous la terre, du coup ça semble qu’ils ont just des têtes. Également, c’était une tradition Rapa Nui pour qu’on situe des moais près de la mer, mais les statues ne la regardent pas– elles regardent la terre, pour protéger des villages et des indigènes. Il y avait beaucoup de choses que j’ai appris pendant la visite, et c’était trop chouette!
Ensuite, on a pris le car à Ahu Tongariki, la plus connue site de l’île de Pâques. Elle consiste en 15 moais sur la côte de la mer. Il y avait un tsunami pendant des années 60’s qui a ruiné plusieurs moais, mais les statues étaient restauré pendant des années 90’s par les japonais qui ont aidé des indigènes pour récupérer leur histoire. Aujourd’hui, on peut voir des statues impressionantes, avec des vues sublimes de la mer.
On a pris le déjeuner après avant de continuer la visite à Te Pito Kura, une site où on voit des moais qui s’écroulent, mais qui n’étaient pas restaurés. Les indigènes ont décidé de les laisser comme ils sont, pour montrer l’histoire imparfait, mais aussi important que des moais restaurés.
Le dernier stop du jour, c’était à Anakena, la seule plage de l’île de Pâques qui a des sables blancs. On a passé du temps en marchant sur le sable, et on a vu des sept moais qui domine la plage d’une colline. Ma mère, soeur, et moi avons acheté des jus de fruits frais au stand près de la plage, et on les a consomme avant de prendre le car pour revenir à l’hôtel. On aurait un autre jour de la visite, et du coup on s’est reposé pendant le reste de la journée.
On a continué la visite de l’île lendemain matin: on a commencé à Volcan Rano Kau, un volcan avec une cratère des plantes d’eau douce. Juste à côté du volcan, c’est Orongo, un ancien village qui est connu pour la compétition “birdman.” Pendant les 17ème et 18ème siècles, les indigènes ont fait une compétition pour honorer Make-Make, le “Dieu” du groupe “birdman” et pour déterminer le prochain chef du groupe. On sauterait des falaises vers la mer, on nagerait à petite l’île sur laquelle il y avait des oiseaux et leurs oeufs: il fallait prendre un oeuf et il fallait revenir à l’origine sans le casser. Ce qui revient le premier, c’est le nouveau chef de l’île pendant un an. La tradition n’existe plus aujourd’hui, mais c’était une tradition fascinante!
Après, on s’est dirigé vers Vinapu, une carrière pour les moais. Ce qui rend cette site spéciale, c’est le fait que des énormes rochers étaient formés très détaillés. Ils étaient assemblé très fermement: on ne peut pas mettre une feuille de papier entre la crevasse! C’est une rumeur que des péruviens y sont venus pour construire ce monument, car l’architecture est très similaire à celle péruvienne. On ne saura jamais, mais c’est une possibilité!
On a pris le déjeuner et on a visité des grottes d’Ana Te Pahu avant de voir plus des moais (cinq, en totale) à Akivi. On a terminé la visite à Puna Pau, une carrière où il y a de la scorie pour faire des pukao (le “chapeau”) pour mettre sur la tête des moais. La visite s’est terminée après, et on est revenu à l’hôtel vers 16:30.
Pour le dîner, on a pris le repas près de Tahai. On a commandé des ceviches et des Pisco Sours: c’était un dîner délicieux, et on était content à la fin de la journée. On prendrait l’avion lendemain matin pour revenir au Chili, et alors on terminerait la visite de l’île Pâques. On s’est bien amusé sur l’île énigme où on a appris l’histoire et la culture de Rapa Nui. Le paysage était trop joli, et je vous encourage à y aller si vous pouvez. C’est une destination rare, et il vaut la peine pour la voir!
Merci de lire mes aventures au Chili, et je raconterai plus de mes voyages à l’Amérique du Sud après des fêtes de fin d’année. À la prochaine! 🙂